Nichole Ouellette
présente
Ptéridophytes
Classe I Clef des genres 001 Lycopodiaceae 002 Selaginellaceae 003 Equisetaceae 004 Isoetaceae 005 Ophioglossaceae 006 Osmundaceae 007 Polypodiaceae
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Édition interactive
Famille 3. ÉQUISÉTACÉES
3. equisetum
Linné. ― prêle.
équisétacées
[ equisetum ] |
Figure 5 |
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Equisetum : (a-b)
E. arvense,
(a) tige stérile verte, (b) tiges fertiles blanches; (c-d)
E. pratense,
(c) tige stérile verte, (d) tige fertile blanche; (e-f)
E. sylvaticum,
(e) tige stérile verte, (f) tige fertile d'abord jaunâtre, puis munie de rameaux
verts.
Dessins du
frère Alexandre Blouin.
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CLEF DES ESPÈCES
Tiges d'un vert sombre, rudes, persistant durant l'hiver ; épis abruptement
terminés en pointe (figure 4, a). |
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Tiges généralement isolées, longues
(30-100 cm) et grosses (diamètre 5-12 mm) ; cavité centrale environ les 2/3 du
diamètre total (figure 4). |
1. E. hyemale |
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Tiges groupées sur une souche, moins longues et moins grosses ; cavité centrale
1/3-1/6 du diamètre total. |
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Tiges (diamètre plus de 1 mm) non filiformes ; cavité centrale 1/3 du diamètre
total (figure 4). |
2. E. variegatum |
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Tiges (diamètre à peine 1 mm) filiformes et gazonnantes, dépourvues de cavité
centrale (figure 4) |
3. E. scirpoides |
Tiges d'un vert clair ou jaunâtres, souples, ne persistant pas durant l'hiver ;
épis obtus (figure 4, b). |
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Plantes non franchement aquatiques, habitant les bois, les prairies ou les
remblais ; fructifications très printanières. |
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Tiges fertiles blanchâtres, très printanières, absolument dépourvues de
chlorophylle et de branches, périssant immédiatement après la déhiscence de
l'épi (figure 5, b) ; tiges stériles vertes
(figure 5, a) ; rameaux souvent
dressés, portant des gaines munies de 3-4 dents longuement aiguës (figure 4, d) |
4. E. arvense |
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Tiges fertiles d'abord jaunâtres, puis produisant des rameaux
verts qui s'allongent par la suite ; tiges stériles vertes, à rameaux
généralement étalés ou pendants. |
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Plante d'un vert très pâle ; rameaux triangulaires, très généralement simples
et étalés horizontalement ; dents des gaines raméales courtes et non longuement
aiguës (figure 4, c) ; plante rare sauf dans les montagnes (figure 5, c-d). |
5. E. pratense |
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Plante d'un vert foncé ; rameaux 4-5-angulaires, généralement plusieurs fois ramifiés
et pendants ; plante commune dans les bois (figure 5, e-f). |
6.
E. sylvaticum |
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Plantes franchement aquatiques, habitant les fossés, les lacs, les
rivières, ou les rivages fréquemment couverts d'eau ; fructifications estivales. |
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Cavité centrale petite (environ 1/6 du diamètre total) ; cavités valléculaires
aussi grandes que la cavité centrale (figure 4) ; gaines de la tige très longues. |
7. E. palustre |
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Cavité centrale plus grande (1/2-2/3 du diamètre total) ; cavités
valléculaires petites (figure 4) ; plantes presque toujours stériles. |
8. E. litorale |
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Cavité centrale grande (environ 4/5 du diamètre total) ; tiges molles et minces
comme du papier à cause de la grande cavité ; cavités valléculaires absentes ou
invisibles à l'œil nu (figure 4) ; plantes généralement très fructifères. |
9. E. fluviatile
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Frère Marie-Victorin (1885-1944)
Flore laurentienne, p. 112, 113, 115.
le lundi 2 juin 2003 - le mercredi 9 décembre 2009
le mardi 14 juin 2011 - le lundi 28 novembre 2016
constante mouvance de mes paysages intérieurs
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