Nichole Ouellette
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ESQUISSE GÉNÉRALE DE LA FLORE
LAURENTIENNE.
| I. -ÉQUILIBRE ACTUEL DE LA FLORE
LAURENTIENNE.
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1° District des basses terres Champlain.
a) Section du triangle montréalais
(Troisième de trois pages
; page 1)
Les montérégiennes forment dans les basses terres Champlain une enclave
physiographiquement importante. Ces collines, qui empruntent leur nom d’ensemble
au mont Royal, sont au nombre de huit :
mont Royal (256 mètres) ;
Saint-Bruno ou
Montarville (205 mètres) ;
Belœil ou Saint-Hilaire (479 mètres) ;
Rougemont (417
mètres) ;
Yamaska ou Saint-Pie (490 mètres) ;
Shefford (575 mètres) ;
Brome (585
mètres) ;
Johnson, Monnoir ou Saint-Grégoire (292 mètres).
45º 26' 53,7" N - 073º 02' 54,2" O, Montérégie,
MRC Rouville, mont
Beloeil ou Saint-Hilaire, vu de Rougemont, rang Petite Caroline, verger en
fleurs, le mercredi 25 mai 2005, photo Rougemont_007_800.
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Comme nous l’avons indiqué plus haut, les montérégiennes sont des
batholithes, des bubons éruptifs surgis au dévonien, et marquant une ligne de
faiblesse de la planète. Épanchées en profondeur, elles ont été démantelées
durant le long cycle d’érosion amorcé depuis le Dévonien et qui sévit encore.
Les roches éruptives qui constituent les Montérégiennes, bien que fortement
basiques, portent une flore analogue à celle des Laurentides et des Adirondacks.
Leur couverture végétale est la forêt mixte, et les types calcicoles manquent
presque totalement. Quand les sommets sont dénudés, ce qui arrive rarement, on
trouve quelques représentants d’une flore plus boréale :
Draba arabisans,
Potentilla tridentata, Selaginella rupestris, etc.
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Frère Marie-Victorin (1885-1944)
Flore laurentienne, p. 45.
le mercredi 14 août 2002 - le mercredi 11 janvier 2012
constante mouvance de mes paysages intérieurs
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